Sortie dans les Cévènnes: Avril 2006 Contributed by Oggy on 25 April 2006 à 23:29:12 CEST
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La 2ème édition de la Virée des Cévennes s’est déroulée les 8 et 9 avril 2006 au départ d’Albi (81).
En fait, elle a démarré le vendredi 7 au soir, par une préparation psychologique dans un moulin à eau, transformé en restaurant au bord du Touch,
à Toulouse.
Fort de cette préparation exceptionnelle, les participants (14 voitures) se sont retrouvés à Albi le samedi matin (9h15), pour la pause café-croissants.
Merci aux Albigeois, régionaux de l’étape, pour la préparation des cafés.
Nous sommes partis en direction du pont de Millau, sous un beau soleil, en passant par la D……, une belle route sinueuse et roulante, jusqu’à la pause
café de 10h30.
Au moment de repartir, Jean91 (Christian) nous a gratifié de la première panne du week-end, son alarme refusant de le laisser maître de son véhicule.
Après quelques bidouilles, il est reparti avec toute la troupe, passer le fameux pont de Millau, un ouvrage superbe, encore plus impressionnant le
lendemain, pour ceux qui sont passé dessous !
Au sortir de l’autoroute, c’en été fini des passages en 4 et en 5, jusqu’au dimanche après midi, la 2 et la 3 étaient les seules vitesses judicieuses !
Après avoir passé le Mont Aigoual, nous nous sommes arrêtés, pour le premier « petit » repas du week-end, à l’Auberge Cévenole, pour goûter à la
charcuterie locale, et à un superbe civet de chevreuil. (Ceux qui veulent l’adresse : en MP).
La route sinueuse qui à suivit, nous a permis de digérer, avant d’attaquer la 1ère spéciale du week-end, au départ de Mars.
Afin de motiver les troupes, une distribution de Mars a été organisée !
Cette spéciale mesure un peu plus de 6 km, très sinueuse et surtout très étroite, où nous avons pu admirer les traces de freinage encore inscrites
sur le macadam, certaines se finissant parfois en dehors de toute trajectoire raisonnable !
Madame Fario a voulu essayer les joies d’une « vraie » voiture de sport, en montant avec Alami pendant ces fameux 6 km.
Alami détient le record de l’équipe, avec quand même plus d’une minute de retard par rapport au temps réalisé par le meilleur des participants au
Rallye des Cévennes 2006.
Mais, aux vues de la tête de Christelle en sortant de la voiture, nous nous sommes autorisés à penser qu’Alain n’avait pas trop lambiné !
Remis de nos émotions, après une bonne pause (redbull, sucette), nous nous sommes dirigés vers le cirque de Navacelles, par des chemins bien plus
praticables, pour finir vers 18h30 au Domaine de Blaquardy, où nous logions pour la nuit.
La soirée fut agrémentée d’un 2ème repas léger, et certains participants, l’ont rallongée avec quelques digestifs Sud-Ouestiens ou Américains !
Pour ces derniers, la nuit fût courte, puisque nous devions lever le camp à 8h30 le dimanche matin.
Au réveil, nous avions le regret de voir partir Alami, et arriver une pluie fine, style Bretonne !
Après un bon petit déjeuner, nous avons pris la route vers la corniche des Cévennes, par St Hyppolite le Fort, en nous dirigeant vers le nord.
Le premiers kilomètres étant gentiment sinueux, ils ont permis à nos cerveaux de se réveiller, avant d’attaquer la montée du col de Pas, où la route
est parfois à peine plus large que nos grenouilles…
C’est dans ces premiers kilomètres, qu’est survenue la panne du dimanche !
Etienne31, n’a rien trouvé de mieux que d’avoir une fuite au bouchon de réservoir d’essence, qui, en plus de nous faire sentir l’essence pendant toute
une montée, lui a permis de se faire de belles frayeurs, son pneu arrière gauche étant recouvert de carburant !
Heureusement pour lui, il était encadré par les 2 délégués du sud, qui étant particulièrement pointus en mécanique, n’ont pas mis plus de 15mn à trouver
la panne ! J J J
Ce petit contretemps nous a obligé, le sens du devoir aidant, à essayer de rattraper les autres participants, le plus rapidement possible, et ce fut fait
de l’autre coté du col où nous attendait le café, bien mérité, pour finir de secouer le dernier neurone encore endormi, avant la 2ème spéciale de
ce week-end.
Le temps commençait à se lever un peu, il ne restait plus que quelques nuages attachés aux cimes !
Le seul souci, c’est que nous devions passer par les cimes !
Nous avons donc roulé, parfois en plein brouillard, parfois au dessus des nuages, le plus souvent en dessous, pour arriver au départ de la spéciale.
Celle-ci était très roulante, même si les routes étaient très (voir très très) étroites par endroit, nous nous sommes régalés !
Nous avons fait une dernière pause, le temps de finir les croissants, manger quelques sucettes, et acheter la parka du club, avant d’attaquer
(façon de parler J ) les dernières courbes du week-end.
Celles-ci, au fond des gorges de la Jonte, nous ont guidé jusqu’au dernier repas frugal du week-end !
J’allais oublier de vous dire, qu’Etienne nous avait refait le coup de la panne, nous obligeant, encore et malgré nous, à essayer de rejoindre
le groupe dans la hâte !
J’ai ainsi pu apprécier la dextérité de notre délégué sud-est, qui même sans son GPS, aborde les virages avec zénitude ! J
Après avoir garé nos voitures sur le parking que nous avait gentiment gardé notre hôte, nous avons pu déguster l’apéritif local, le Jolicoing,
un alcool de Coing, très doux, et sirupeux, fabriqué uniquement à quelques kilomètres de là… ces gens savent vivre !
Comme nous sommes très prudents, Yoyo s’est sacrifié pour faire un alcootest !
Comme c’est lui qui boit le plus, s’il est négatif, nous aussi !
Il fait donc maintenant partie du club des enfarinés, dont je suis le membre 14848, et qui compte parmi ses membres, d’autres grands noms comme
Guy Drut, Nicolas Hulot, et jean Passe… (et tout ça c’est vrai !)
Après le repas, nous avons repris la route pour une dernière trentaine de kilomètres de pur bonheur, sur une superbe route finissant dans les
gorges du Tarn.
Arrivés à Millau, nous avons du nous rendre à l’évidence : la virée 2006 était terminée !
Chacun a repris sa route, vers le Sud, le Nord, ou l’ouest, les yeux pleins de belles images, et les oreilles pleines de Watt (pas celle du coton tige !)
Merci à vous tous d’avoir participé avec autant de bonne humeur, de savoir vivre, de savoir conduire, et d’humour…
Nous sommes partis en direction du pont de Millau, sous un beau soleil, en passant par la D……, une belle route sinueuse et roulante, jusqu’à la pause
café de 10h30.
Au moment de repartir, Jean91 (Christian) nous a gratifié de la première panne du week-end, son alarme refusant de le laisser maître de son véhicule.
Après quelques bidouilles, il est reparti avec toute la troupe, passer le fameux pont de Millau, un ouvrage superbe, encore plus impressionnant le
lendemain, pour ceux qui sont passé dessous !
Au sortir de l’autoroute, c’en été fini des passages en 4 et en 5, jusqu’au dimanche après midi, la 2 et la 3 étaient les seules vitesses judicieuses !
Après avoir passé le Mont Aigoual, nous nous sommes arrêtés, pour le premier « petit » repas du week-end, à l’Auberge Cévenole, pour goûter à la
charcuterie locale, et à un superbe civet de chevreuil. (Ceux qui veulent l’adresse : en MP).
La route sinueuse qui à suivit, nous a permis de digérer, avant d’attaquer la 1ère spéciale du week-end, au départ de Mars.
Afin de motiver les troupes, une distribution de Mars a été organisée !
Cette spéciale mesure un peu plus de 6 km, très sinueuse et surtout très étroite, où nous avons pu admirer les traces de freinage encore inscrites
sur le macadam, certaines se finissant parfois en dehors de toute trajectoire raisonnable !
Madame Fario a voulu essayer les joies d’une « vraie » voiture de sport, en montant avec Alami pendant ces fameux 6 km.
Alami détient le record de l’équipe, avec quand même plus d’une minute de retard par rapport au temps réalisé par le meilleur des participants au
Rallye des Cévennes 2006.
Mais, aux vues de la tête de Christelle en sortant de la voiture, nous nous sommes autorisés à penser qu’Alain n’avait pas trop lambiné !
Remis de nos émotions, après une bonne pause (redbull, sucette), nous nous sommes dirigés vers le cirque de Navacelles, par des chemins bien plus
praticables, pour finir vers 18h30 au Domaine de Blaquardy, où nous logions pour la nuit.
La soirée fut agrémentée d’un 2ème repas léger, et certains participants, l’ont rallongée avec quelques digestifs Sud-Ouestiens ou Américains !
Pour ces derniers, la nuit fût courte, puisque nous devions lever le camp à 8h30 le dimanche matin.
Au réveil, nous avions le regret de voir partir Alami, et arriver une pluie fine, style Bretonne !
Après un bon petit déjeuner, nous avons pris la route vers la corniche des Cévennes, par St Hyppolite le Fort, en nous dirigeant vers le nord.
Le premiers kilomètres étant gentiment sinueux, ils ont permis à nos cerveaux de se réveiller, avant d’attaquer la montée du col de Pas, où la route
est parfois à peine plus large que nos grenouilles…
C’est dans ces premiers kilomètres, qu’est survenue la panne du dimanche !
Etienne31, n’a rien trouvé de mieux que d’avoir une fuite au bouchon de réservoir d’essence, qui, en plus de nous faire sentir l’essence pendant toute
une montée, lui a permis de se faire de belles frayeurs, son pneu arrière gauche étant recouvert de carburant !
Heureusement pour lui, il était encadré par les 2 délégués du sud, qui étant particulièrement pointus en mécanique, n’ont pas mis plus de 15mn à trouver
la panne ! J J J
Ce petit contretemps nous a obligé, le sens du devoir aidant, à essayer de rattraper les autres participants, le plus rapidement possible, et ce fut fait
de l’autre coté du col où nous attendait le café, bien mérité, pour finir de secouer le dernier neurone encore endormi, avant la 2ème spéciale de
ce week-end.
Le temps commençait à se lever un peu, il ne restait plus que quelques nuages attachés aux cimes !
Le seul souci, c’est que nous devions passer par les cimes !
Nous avons donc roulé, parfois en plein brouillard, parfois au dessus des nuages, le plus souvent en dessous, pour arriver au départ de la spéciale.
Celle-ci était très roulante, même si les routes étaient très (voir très très) étroites par endroit, nous nous sommes régalés !
Nous avons fait une dernière pause, le temps de finir les croissants, manger quelques sucettes, et acheter la parka du club, avant d’attaquer
(façon de parler J ) les dernières courbes du week-end.
Celles-ci, au fond des gorges de la Jonte, nous ont guidé jusqu’au dernier repas frugal du week-end !
J’allais oublier de vous dire, qu’Etienne nous avait refait le coup de la panne, nous obligeant, encore et malgré nous, à essayer de rejoindre
le groupe dans la hâte !
J’ai ainsi pu apprécier la dextérité de notre délégué sud-est, qui même sans son GPS, aborde les virages avec zénitude ! J
Après avoir garé nos voitures sur le parking que nous avait gentiment gardé notre hôte, nous avons pu déguster l’apéritif local, le Jolicoing,
un alcool de Coing, très doux, et sirupeux, fabriqué uniquement à quelques kilomètres de là… ces gens savent vivre !
Comme nous sommes très prudents, Yoyo s’est sacrifié pour faire un alcootest !
Comme c’est lui qui boit le plus, s’il est négatif, nous aussi !
Il fait donc maintenant partie du club des enfarinés, dont je suis le membre 14848, et qui compte parmi ses membres, d’autres grands noms comme
Guy Drut, Nicolas Hulot, et jean Passe… (et tout ça c’est vrai !)
Après le repas, nous avons repris la route pour une dernière trentaine de kilomètres de pur bonheur, sur une superbe route finissant dans les
gorges du Tarn.
Arrivés à Millau, nous avons du nous rendre à l’évidence : la virée 2006 était terminée !
Chacun a repris sa route, vers le Sud, le Nord, ou l’ouest, les yeux pleins de belles images, et les oreilles pleines de Watt (pas celle du coton tige !)
Merci à vous tous d’avoir participé avec autant de bonne humeur, de savoir vivre, de savoir conduire, et d’humour…
C’est un vrai plaisir d’organiser tout ça pour vous…..
Vané et Bennyboum
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