5ème week end Normandie Enviado el 13 February 2009 à 09:41:57 CET
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Pour cette 5ème édition du We Normandie, la Manche et le Cotentin étaient au programme.
Le point de RDV du samedi était fixé à l’auberge Saint Pierre dans le Mont Saint Michel pour 12h.
Le convoi arriva un peu en retard à cause d’un bouchon sur la voie rapide au niveau d’Avranche.
Cependant, ce retard n’est que relatif eu égard à mon propre retard causé par une pompe à essence défaillante. Merci à fildemass pour la confirmation téléphonique du diagnostic.
Après avoir abandonné la targa, nous sommes passés à l’anglaise pour rejoindre tous les participants avec une bonne heure de retard.
Après un repas rapide pour nous, 2 heures étaient allouées pour visiter le Mont Saint Michel, chaque membre ayant le libre choix de ses activités. La majorité des participants préférant visiter l’abbatiale.
Voici l’histoire du Mont Saint Michel :
L'histoire du Mont Saint-Michel commence par une légende elle même étroitement liée à celle du Monte Gargano, dans les Pouilles (Italie) :
Au début du VIIIème siècle, en 708, Aubert, évêque d'Avranches, suite à une apparition de l'archange Saint-Michel reçoit l'ordre de construire un édifice dans lequel seraient loués les mérites de l'archange. Le pauvre évêque croyant follir n'ose rien faire et décide d'attendre.
Une seconde fois l'archange lui apparaît, et Aubert doute toujours. Mais à la troisième apparition de l'archange plus aucun doute ne subsiste à l'esprit de l'évêque, car Saint-Michel, furieux de ne point avoir été écouté laisse à Aubert une preuve de son pouvoir: dans le crâne de l'évêque apparaît un trou circulaire. Mais l'évêque ne doit pas trop en souffrir car il ne mourra que des années plus tard.
Aujourd'hui le crâne d'Aubert est conservé dans la basilique d'Avranches. Cette histoire est-elle vrai ou fausse? Personne ne peut apporter la preuve qui fera pencher la balance d'un côté ou de l'autre. Quoi qu'il en soit, l'évêque certain que ces visions n'étaient point à mettre sur le compte de la folie, entreprend les travaux commandés par l'archange. Il fait construire un petit oratoire en forme de grotte pouvant contenir une centaine de personnes. Il ne reste rien de cette construction sauf un mur visible dans l'une des salles de l'abbaye (Notre Dame sous terre). En 709, construction d'une petite église par Aubert.
Pendant deux siècles des chanoines accueilleront les pèlerins mais au fil du temps ils délaisseront leur mission. Las de cette chose le duc de Normandie, Richard 1er, décide de remplacer les chanoines par des moines bénédictins venus de l'abbaye de Saint-Wandrille. Cela se passe en 966, c'est cette année qui est retenue comme celle de la fondation de l'abbaye. Les bénédictins sont de grands bâtisseurs. Ils font construire une église et quelques bâtiments. Les pèlerins affluent de plus en plus nombreux et la renommée du Mont Saint-Michel ne tarde à être connue de par tout le royaume. Par temps de brouillard, de nombreux pèlerins se perdent sur les grèves et périssent noyés. De plus, les lises, sortes de sables mouvants, ensevelissent les imprudents qui s'aventurent dans la baie sans l'aide d'un guide. Au pied de l'abbaye, une petite ville se construit.
Les maisons pour la plupart en bois servent à accueillir les pèlerins. Dès le début du millénaire le métier d'hôtelier existe donc déjà au Mont Saint-Michel. Au sommet du rocher, les moines quant à eux ne perdent pas leur temps, grâce à de nombreux dons, ils bâtissent une vaste église et plusieurs bâtiments annexes: un réfectoire (lieu où les moines prennent leurs repas), un dortoir (lieu où ils dorment), une salle de travail, un promenoir (lieu de détente), une aumônerie (lieu où les pauvres sont reçus et reçoivent l'aumône qui consiste souvent en un léger repas). Quand le duc de Normandie Guillaume le Conquérant décide d'envahir l'Angleterre, il demande son aide à l'abbé du Mont. Celui-ci fait armer quatre bateaux. Après la victoire d'Hastings, Guillaume en signe de reconnaissance fera don de plusieurs territoires Anglais à l'abbaye. En un siècle l'abbaye s'est considérablement enrichie et agrandie. Mais en ce début de XIIème siècles, les malheurs vont se succéder. En 1103 le côté nord de la nef de l'église s'effondre. Dix ans plus tard un incendie se déclare dans une maison de la ville. Le feu se propage de maison en maison et finit par atteindre l'abbaye. Moins de vingt ans après cette catastrophe un nouvel incendie enflamme de nouveau l'abbaye. Cette fois s'en est trop pour les moines qui se relâchent et ne font plus sérieusement leur office.
Pourtant un homme parvient à lui seul à redonner à l'abbaye son éclat antérieur: Robert de Thorigny, élu abbé en 1154. Diplomate il parvient à réconcilier le roi de France avec le duc de Normandie. Erudit, il acquiert un nombre important de livres ( les livres à cette époque ont beaucoup de valeur) et en écrit quelques-uns. Bâtisseur, il fait construire plusieurs bâtiments dont une plus vaste aumônerie pour accueillir plus de pèlerins. A sa mort l'abbé Robert de Thorigny laisse une abbaye plus puissante, plus riche et totalement revitalisée au niveau spirituel. Dès le début du XIIIème siècle, le duc de Normandie et le roi de France entrent en guerre. Les Bretons alliés pour l'occasion au roi de France montent une armée et marchent vers le Mont qu'ils enflamment. En 1204 la Normandie est rattachée au royaume de France.
Le roi de France Philippe-Auguste, pour dédommager le monastère du préjudice causé par les Bretons alloue une forte somme d'argent à l'abbaye. Cet argent est immédiatement investi dans la construction de la Merveille. La construction de ce bâtiment sur un terrain aussi peu propice (le terrain est en pente) est un véritable tour de force. En 1228 le cloître, sommet de l'édifice, est achevé. Très peu d'évènements viendront marquer le reste du XIIIème siècle, les abbés se succèdent, tous apportent leur marque dans la construction du Mont: pour remplacer l'ancienne palissade en bois, des tours et des remparts sont construits, les logis abbatiaux sont également bâtis durant cette période. Au début du XIVème siècle commence la guerre dite de Cent Ans. L'abbaye perd la totalité de ses revenus provenant de ses prieurés Anglais. En 1356, les Anglais s'emparent de Tombelaine et prennent pour cible le Mont Saint-Michel. Le chevalier Du Guesclin est nommé chef de la garnison du Mont. A la tête de ses troupes il remporte victoire sur victoire et éloigne pour plusieurs années la menace Anglaise. Pierre le Roy est élu abbé en 1386, conscient du danger que représentent les Anglais, il décide de construire de nouvelles défenses pour l'entrée de l'abbaye. La tour Perrine, la tour des
Corbins et plus particulièrement le Châtelet donne à l'entrée du monastère une défense infranchissable. Les Anglais après une période de répit reprennent l'offensive et, après la défaite du roi de France à Azincourt, plus rien ne semble pouvoir les arrêter. Robert Jolivet le nouvel abbé, organise, grâce à de nombreux impôts, la construction des remparts afin de protéger la ville qui devient elle-même une protection pour l'abbaye.
En homme prévoyant, il fait construire une citerne pour alimenter en eau douce les moines, les soldats et les habitants du Mont. Quand Rouen, capitale de la Normandie tombe aux mains des Anglais, toute la région sauf le Mont Saint-Michel est occupée par les Anglais. Devant tant de puissance l'abbé Robert Jolivet abandonne son monastère et propose ses services au roi d'Angleterre. En 1424, les Anglais assiègent le Mont, mais l'aide de l'abbé est inutile. Il a si bien conçu le système défensif de la ville que rien ne parvient à l'ébranler.
Les Montois (nom donné aux habitants du Mont) parviennent même par quelques attaques éclairs à décourager les Anglais. En 1425, après avoir subi une défaite plus cuisante que les autres, les Anglais se replient.
Après cette victoire, malgré les menaces qui pèsent toujours sur la région, les pèlerins affluent au Mont pour rendre hommage a l'ultime défenseur du royaume: l'archange Saint-Michel. En 1433, un incendie ravage une partie de la ville, les Anglais voulant profiter de cette occasion regroupent leur armée et préparent l'attaque. En 1434, les Anglais se ruent sur le Mont Saint-Michel, une bataille sanglante s'en suit. Les Anglais parviennent à faire une brèche dans le rempart et pénètrent dans la ville en criant déjà victoire. Heureusement, le capitaine du Mont réorganise ses troupes et contre-attaque si puissamment que les Anglais prennent la fuite en abandonnant deux bombardes. La victoire des troupes Montoises redonne confiance aux armées Françaises et, sur tout le territoire, les Anglais reculent. La bataille de Formigny, en 1450 apportera finalement la paix à la Normandie.
Comme nous venons de le voir Louis XI institua l'ordre des Chevaliers de Saint-Michel !
Ce roi très pieux se rendit quatre fois au Mont. Lors de son dernier passage, il demanda l'installation de la cage de fer. Le Mont Saint-Michel devient ainsi une prison. A partir de 1523, les moines n'élisent plus leur chef. C'est le roi en personne qui désigne le nouvel abbé: cela s'appelle la commende. Généralement, cet abbé n'est pas un ecclésiastique, et il se fait souvent nommer pour profiter des revenus de l'abbaye. Les moines, à partir de cette date ne trouvent plus de motivation dans leur vie spirituelle et bien que les pèlerins soient toujours aussi nombreux ils délaissent l'abbaye. Les moines qui furent jusqu'à soixante sous la prélature de Robert de Thorigny ne sont plus que treize en 1580. En 1591, la menace effrayante de la guerre de religion se rapproche du Mont Saint-Michel. Les protestants veulent prendre l'abbaye. Sous les ordres de Montgomery, un groupe d'hommes se rapproche de nuit, jusqu'au pied de l'abbaye.
Là, pensant obtenir l'aide d'un soldat ennemi acheté quelques jours auparavant, ils attendent que celui-ci les hissent à l'intérieur de l'édifice. Et, de fait, les protestants se retrouvent bientôt à plus de quatre-vingts dans le monastère. Montgomery, étonné de n'entendre aucun bruit de bataille à l'intérieur demande à l'un de ses plus fidèles soldats de monter. Arrivé dans le cellier, ne voyant aucun des siens, il comprend le stratagème et hurle pour prévenir son chef "Trahison, Trahison!" Entendant cela les protestants s'enfuirent laissant derrière eux quatre-vingt-dix- huit des leurs.
En 1594, la foudre tombe de nouveau sur le clocher de l'abbaye. La flèche est complètement détruite et une partie de la charpente de l'église est réduite en cendres. L'abbé refuse de faire entreprendre les réparations, ce n'est que quinze ans plus tard que clocher est reconstruit. Les abbés qui se désintéressent de leur abbaye, les pèlerins qui viennent moins nombreux, et la lassitude des moines sont les causes d'un grand bouleversement au Mont. En 1622, les moines sont remplacés par neuf moines Bénédictins de la Congrégation de Saint-Maur (des Mauristes). Ces religieux, sont extrêmement cultivés. Désirant faire partager leur savoir, ils ouvrent une école où une dizaine d'élèves suivent des cours. Malheureusement les Mauristes sont de piètres bâtisseurs. Au lieu de réparer les trois travées de la nef de l'église qui menaçaient de s'effondrer, ils les démolissent. A la place du trou laissé ils construisent une façade d'un style plutôt laid.
L'élan apporté par les Mauristes sera de courte durée car le système de la commende ruine l'abbaye. Les revenus du monastère s'effondrent et les moines s'endettent. La précarité de l'abbaye est grande, la Révolution achève sa ruine. En 1790, les moines sont chassés de l'abbaye. Tous les biens sont vendus en 1792. Avec la Révolution, le Mont Saint-Michel devient une véritable prison. A partir de 1792, trois cents prêtres sont enfermés dans les murs de l'abbaye. Ils seront libérés en 1799. A leurs suites seront internés des forçats. Toutes les salles de l'abbaye sont transformées en ateliers. Les prisonniers seront jusqu'à sept cents à travailler dans ces pièces, aussi pour augmenter la surface utilisable, un plancher sépare l'église abbatiale. L'administration pénitentiaire délaisse totalement l'entretien des bâtiments et en 1817, l'ancienne hôtellerie, bâtie durant le règne de Robert de Thorigny, s'effondre.
En 1834, un incendie se déclare dans l'église abbatiale transformée en atelier à chapeaux. La toiture est détruite et les travaux de réparations sont trop modestes par rapport à l'ampleur des dégâts. Chaque jour l'abbaye s'enlaidit un peu plus. Heureusement des hommes célèbres, principalement des écrivains (Hugo, Flaubert... ), affligés par un tel désastre, font pression sur le gouvernement. Enfin, en 1863 la prison est supprimer. L'abbaye est louée à l'évêque de Coutances. Des moines habitent de nouveau l'abbaye. Les pèlerins reviennent animer le Mont Saint-Michel. Les hôtels, restaurants et magasins de souvenirs ouvrent de nouveau leurs portes à des visiteurs de plus en plus nombreux.
L'abbaye qui menace ruine de toute part est classée au registre des monuments historiques en 1874. Les moines sont de nouveau expulsés, mais cette fois pour une cause juste. L'architecte Edouard Corroyer est nommé pour entreprendre les travaux de restauration. C'est sa servante Annette Poulard qui est à l'origine de la fameuse omelette toujours très prisée aujourd'hui. Les travaux de restaurations donnent au Mont Saint-Michel son apparence actuelle quand en 1898 la flèche est achevée. Lors de la célébration du millénaire du Mont en 1966, des moines ont formé une petite communauté. Installés dans les logis abbatiaux, ils demeurent depuis à l'année sur l'îlot. La ville quant à elle accueille un flot constant de visiteurs, 3 millions par an, et c'est aussi un peu grâce à cela que le Mont saint-Michel est aujourd'hui ce qu'il est.
Cet historique prouve bien que le Mont Saint Michel est normand puisque sa construction est en partie due aux moines de Saint Wandrille. Mais oui, vous connaissez cette ville qui n’est qu’à 2 encablures de Caudebec en caux. Il n’y a vraiment que des personnes de qualité qui vivent dans cette région et notre huissier ne me contredira pas. :D
Une fois la visite terminée, nous avons repris la route en direction de Granville par la D 911 ; route qui par ailleurs nous a obligé à quelques déviations pour cause de travaux.
Néanmoins, le long de cette départementale nous avions une vue magnifique sur la baie du Mont saint Michel avec mer montante.
Les premiers arrivants (c’est-à-dire RADIX et nous) ont profité d’un morceau de corne muse joué par un homme en kilt.
Arrivés à Granville, l’heure tardive nous imposa de prendre la route la plus directe pour rejoindre le château de Bricquebec où nous nous sommes posés vers 19h30.
Après une douche rapide, c’était l’heure de l’apéro puis du repas sous la surveillance d’une belle armure….
Dimanche matin, Luiston, persuadé que tout le monde avait assez dormi, sonna le glas en allant faire le plein d’essence vers 8h.
Après un petit déjeuner copieux, nous avons pris la route en suivant le Road-book réalisé par Peter1er.
Le premier arrêt eut lieu aux dunes de Biville :
Au nord-ouest de la presqu’île du Cotentin, face aux îles anglo-normandes, entre le Nez de Jobourg et le port de Diélette, les côtes normandes offrent un spectacle impressionnant. A cet endroit, la plaine est séparée de la mer par une lagune et un des plus longs et des plus anciens cordons dunaires d’Europe, formé par les massifs de Vauville, de Biville et de Baubigny.
Sur une distance avoisinant 47 kilomètres, les dunes de Biville, battues par les vents d’ouest, ne doivent leur salut qu’aux clôtures et aux plantations d’Oyats qui cohabitent avec le liseron des sables et le chardon bleu. L’arrière des dunes, au climat plus clément, fréquenté par le Pipit Farlouse et l’Alouette des champs, abrite, quant à elle, une flore plus riche constituée notamment de véroniques en épis et de rosiers à feuilles de pimprenelle.
A l’est, au pied des dunes, classée zone protégée, la mare de Vauville, lagune d’eau douce d’une vingtaine d’hectares entourée de roseaux et de saules rampant est le refuge de plus de 140 espèces d’oiseaux sédentaires, tel le traquer pâtre, ou de passage. Peuplée de grenouilles et de tritons, la mare est aussi un lieu où les renards, rivalisant de discrétion, partagent un vaste espace avec diverses espèces de lapins, de rongeurs, de reptiles, de batraciens et une multitude d’insectes de tous ordres.
Après cet arrêt avec photo de groupe obligatoire, nous avons pris la direction du Nez de Jobourg.
C'est un site particulièrement impressionnant, de hautes falaises couvertes de landes et de bruyères, battues par la mer.
Avec leurs 126 mètres, les falaises de Jobourg sont les plus hautes d'Europe.
Par beau temps, on y distingue les îles d'Aurigny et de Guernesey.
Après cette halte, nous sommes repartis en direction du centre de secours de Goury, où la sortie du bateau de la SNSM se fait suivant les marées soit par le port soit directement en mer profonde.
Ensuite passage par « port racine » : le plus petit port de France
Abrité en bordure de la magnifique et légendaire Anse St Martin, le Port Racine tient son nom d'un corsaire du 18ème siècle.
Ses dimensions en font le plus petit port de France. Ici, point de place pour un ponton. Seules quelques barques de pêcheurs sont amarrées traditionnellement tête et cul en va et vient sur des aussières. Les cabanes de pêcheurs et les casiers qui trainent sur la jetée construite en 1870 font de cet endroit un lieu très apprécié des promeneurs.
Un repère de corsaire:
Lorsque que François Médard Racine, prend en 1815 le commandement du bateau corsaire nommé L'embuscade, il jette son dévolu sur l'anse
St Martin. D'un point de vue stratégique, la baie est un bon refuge pour un corsaire. Le mouillage offre le double avantage d'être abrité et à proximité de la pointe de la Hague. La renverse de la marée permet de passer le Raz Blanchard entrainé par le courant - méthode toujours utilisée par les plaisanciers - pour voguer d'une traite vers l'île de Guernesey. Cela permet de croiser la route des navires marchands doublant le cap pour rejoindre l'Angleterre.
Afin de protéger le navire au mouillage des vents du nord, Racine fait construire une petite jetée submersible de pierres sèches. Le navire ne
permettant pas d'abriter les 16 hommes d'équipage faute de pont, une cabane est montée à proximité du mouillage. Pendant une année Racine et ses
hommes arraisonneront les navires anglais et leurs précieuses cargaisons.
Enfin, nous avons rejoint le restaurant les murets dans le manoir du tourp pour un dernier repas ensemble.
Après ce repas, la troupe se dispersa pour reprendre la route du retour.
Merci aux photographes herge91, carrera79, sebss964 et à tous les participants.
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